vendredi 30 mai 2014

Ch3val de Troi3 d'Eric Nieudan

Etant donné que MOI, je tiens mes promesses, voici donc une petite chronique sur Ch3val de Troi3 de l'ami Eric Nieudan. Autant le dire, c'est bien. Pondre un livre sur le Cyberpunk capable de susciter chez moi autre chose qu'un soupir désabusé (quand ce n'est pas pire) est un sacré exploit, et M. Nieudan doit en être chaleureusement remercié. Donc, Eric, merci. Vraiment.



Car le cyperpunk est un genre qui me gonfle prodigieusement. J'ai détesté Neuromancien (qui n'est pas un mauvais livre pour autant). Le MJ qui me fera jouer à Shadworun sera 'achement balaize ou convaincant ou muni d'un gros calibre (Bon, depuis que j'ai joué à Sombre, j'ai banni de mon vocabulaire l'expression "N'est pas encore né". Bref) et le concept de Matrice m'a toujours rire ou envie de me taper la tête contre les murs, selon mon humeur du moment.

Pourquoi cet enthousiasme, me direz-vous ?
  1. Car ce livre est bien écrit. M. Nieudan sait causer écrire. Sa plume est alerte, il a du vocabulaire, maîtrise la langue, évoque des images parlantes.
  2. Le fond vaut la forme. L'intrigue est prenante, sans affreux cliffhanger (bon, avouons-le, comme dans 95 % des livres que je lis, j'ai lu les dernières pages avant la fin). Elle se tient.
  3. Mais, surtout, le monde que nous décrit Eric est terriblement crédible. Il y intègre avec beaucoup de justesse des données réelles (la fin du pétrole, la montée des inégalités, les villes privées, la surveillance des réseaux, la puissance des marques, les communautés...) sans qu'à aucun moment, l'auteur nous serve son cours de futurologie aride et pontifiant.
  4. Les héros sont sympas, les méchants parfaitement antipathiques sans que le livre soit bêtement manichéen. Et la fin est plutôt réjouissante.
Pour finir sur une note un peu acide (sinon, on va encore me traiter de bisounours), je suis quand même content de voir que Brage est capable de publier un bon livre de temps en temps. Mettons ça sur le compte du hasard ou du fait que M. Nieudan a ses entrées chez eux...

Donc, courez acheter ce livre (4.99 €). Pas chez Amazon, naturellement, mais plutôt chez Immatériel

jeudi 1 mai 2014

Deux personnages pour Fu Folandes Fantasy

Voici donc Dyvan, créé par Didier "Dichim Zoug" Gazoufer

Concept principal : Magicien Libreterran
Physique : 
* Élégant
* Androgyne
Esprit : Tête en l'air (-)
Face à l'opposition : Je joue de mon charme
Équipement : Une collection de tenues et de déguisements à ma taille pour parer à toutes les situations dans un sac sans fond
En amour : Entreprenant et ouvert à tous sans préférence aucune
Edrulain : Je le suis devenu pour préserver Libreterre mais aussi pour porter l'utopie libreterrane...
Amis et ennemis :
* Dalia prostituée d'Havredoux, elle m'a tant appris
* Molinne ma couturière.
* Nofrus, prêtre de l'unique, quel coincé (-)
Aspects libres : 
* Faites l'amour pas la guerre, je suis incapable de violence physique (-)
* Je trouble même les hommes
* Faire fondre les gros durs, c'est mon dada
Compétences :
* Magie des esprits
* Illusions
* Séduire et minauder
* Se montrer convaincant
* Réconforter et consoler

Et un second, Karl Bougomme, créé pour un joueur désirant gouter aux Folandes (et qui a apprécié !)

Concept principal : Espion-gentilhomme au service du comte de Lanareta
Physique : Gracieux
Esprit : Subtil et chaleureux
Face à l'opposition : J'embobine
Equipement : Une pipe et un tabac (hmmm) particulier dont la fumée endort celui vers qui je la souffle (5 doses)
En amour : Je suis non exclusif, porté sur les dames et les garçons sans préférence aucune
Allié des Edruains : car le comte me l'a demandé (mais ça me va très bien, car je trouve ces gens sympathiques. Bizarres, mais sympathiques)
Amis et ennemis :
* La baronne de Lankmur, alliée des Verougues (ennemie)
* Faline, une jolie magicienne libreterranne (amie)
* Dorzer, un Verougue différent (ami)
Aspects libres : "La violence est l'arme des faibles"
Compétences :
* Baratiner son prochain
* Connaitre us et coutumes
* Lire sur les lèvres
* Parler et écrire le Verougue
* Manier la rapière