lundi 10 juillet 2017

Friponnes rpg : à quelques heures de la fin du foulancement...

Dernière ligne droite et, selon la tradition désormais bien établie, ça s'accélère !

Vous avez gravi tous nos paliers en moins de temps qu'il ne faut à une troupe de Friponnes pour ridiculiser une compagnie de légionnaires verougues ou de soudards borênans ou déjouer les plans d'un banquier de BeauxMâts.

Je peine à descendre du petit nuage de félicité sur lequel vous m'avez propulsé.

Merci, merci, merci, merci, merci et encore merci à tous les souscripteurs et ceux qui ont communiqué autour de ce projet  de permettre à ce jeu d'exister sous la forme la plus aboutie qui soit !

Merci à Jahyra et à Michel pour leur soutien et leur travail.
Merci à Matthieu et à Benoît pour leur travail dans l'ombre.

Nous n'allons pas nous arrêter là et espérons que tout ce que nous allons désormais  imaginer répondra à vos attentes. N'hésitez pas à nous faire de part de vos envies, de vos délires, de vos rêves les plus fous !

Je pars en vacances demain pendant lesquelles je me coupe (enfin, je vais essayer !) de la toile. Mais j'aurais avec moi cahier et crayon et je serais surpris qu'ils restent au fond de mon sac. Le bon Chatlife Haroun el Pouchat, habile souverain de la ville de Miato, est fort mal conseillé par un certain Meeowznogoud (ou Meeowznocool, on verra), il y a sûrement là une idée à creuser !

Il y a encore des choses à dire dans la jeunesse de Néalanne telle qu'elle est décrite dans le recueil de nouvelles Friponnes, que la plupart des souscripteurs recevra. Quand a-t-elle rencontré Loran, le servant de l'Unique ? Est-il vrai qu'elle a rencontré l'héritier du trône de Borêne ? Que s'est-il passé près de Fort-la-Neige durant l'hiver 58 ?

Il semblerait que Faldelle et Fanëol, les jeunes apprentis rencontrés dans Face aux Démons, aient fait quelques siennes pendant les jours qui ont précédé une élection à Serk, dans les communautés verougues libres, dans les années 70...

En bref, j'ai de quoi faire.
Merci de m'en donner l'envie.

Bel été à vous, les Friponnes !

Je vous laisse en compagnie de Dame Michu qui ne semble pas partager mon enthousiasme... Allez, Mme Michu, un petit sourire !


vendredi 7 juillet 2017

Friponnes RPG : Une nouvelle de friponnes gratuite, ça ne se refuse pas !

A la minute où j'écris (et même si jouer au marchand de tapis commence un peu à me fatiguer), on est à 82 euros du palier "Rougeroc" qui permetra à presque tous les souscripteurs de recevoir "Les menteuses", une nouvelle inédite d'une cinquantaine de page où vous aurez le plaisir de retrouver Néalanne, quelques autres Edrulains, Loran le servant de l'Unique et où, une fois de plus, il est démontré que les Borênans ne sont vraiment pas des gens fréquentables. Même si cela ne se vérifie pas toujours !

En attendant, je vous laisse avec Gnork, le videur du Manoir de la Jouae dans le scénario "Sauvez Leda" et de la jolie et douce Verlaine, pensionnaire du Moulin Roux.

Je vous laisse deviner qui est qui, après tout, vous êtes joueurs, non ?


Mille mercis pour votre soutien !

mercredi 5 juillet 2017

Friponnes RPG : le point de vue d'une joueuse

D'aucuns affirment que mon jeu serait machiste.

Il m'a paru intéressant de donner la parole à une joueuse de Friponnes, Peggy Chassenet, grande joueuse devant l'éternel :

Alors oui, et je l'ai souvent reproché à Etienne, dans Friponnes les PNJs femmes sont souvent rousses, très belles et séductrices, les hommes sont moins charmants, mais je pense que c'est tout simplement parce qu'Etienne et moi n’avons pas les mêmes goûts ni attentes envers les hommes :)

Ensuite, Friponnes, pour moi, c'est un c'est un jeu dans lequel je peux jouer une femme combattante sans que jamais ses compétences, ni son rôle ne soit remis en cause (sauf par les méchants, mais ils se prennent vite un coup de bâton sur la tête).
C'est un jeu dans lequel toutes les sexualités sont possibles et acceptées !
C'est un jeu dans lequel une femme peut dire non à un homme.
C'est un jeu dans lequel les femmes peuvent avoir plusieurs maris/partenaires sans se faire traiter de pute.

Ce qui n'est probablement pas l'avis de Philippine de Puydent, une dame de la haute société de Malinche qui n'aime pas les Friponnes, et celles-ci le lui rendent bien, d'ailleurs...